samedi 3 mai 2008

Les Hommes qui n'aimaient pas les Femmes (Millenium 1)

J'ai entamé cette lecture pour de mauvaises raisons: parce que tout le monde m'avait dit qu'il fallait lire ce bouquin. En général ça se termine par une horrible déception, et quand je dis 'se termine', entendons nous bien: ça n'attend pas toujours la fin du livre pour que je mette fin au calvaire.
Après quoi mon père a acheté le livre et puis s'est rué sur les deux tomes suivants. C'est un signe encourageant quand à la qualité d'écriture mais pour ce qui est du genre, c'est plutôt le contraire, on ne pèche généralement pas dans les mêmes eaux lui et moi.

Alors je me suis dit que j'allais commencer et qu'on verrait bien. Et qu'en tous cas, si j'arrivais au bout, je ferais une pause avant d'attaquer la suite. Tu parles.

J'ai fini ce premier tome depuis hier, je me sens aussi perdue qu'à la fin d'un volume de Harry Potter. J'arrive pas à quitter les personnages, j'arrive pas à me sortir de leur univers. Qu'est-ce que je peux faire d'autre que d'attaquer directement la second volume? (Au titre prometteur de "La fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une allumette").

Que je vous raconte, au cas où vous n'auriez pas encore lu: les héros de ce roman 100% Suédois sont Mikael Blomkvist, un journaliste qui vient d'être condamné pour diffamation après avoir révélé un scandale financier, et Lisbeth Salander, une jeune fille à l'air anorexique complètement asociale, extrêmement intelligente, abondamment tatouée, et dont le sens moral est plutôt flexible. L'objet de l'enquête (ben oui, c'est un roman du genre polar) c'est de découvrir ce qu'il est advenu d'une adolescente disparue dans les années 60.

Le reste, c'est à vous de voir. Prévoyez deux jours de congé parce que vous n'arriverez pas à reposer le livre pour aller bosser.

2 commentaires:

Valérie de Haute Savoie a dit...

Comme chaque livre coûte plus de vingt euros et que je sais que j'aurai une envie irrépressible de lire la suite une fois le premier livre achevé, j'attends soit de gagner au loto, soit qu'ils sortent en poche. Mais à lire ici et là que véritablement on ne peut lâcher le livre avant la fin, et qu'au bout il faut vite trouver un truc à faire pour supporter justement qu'il n'y aura jamais de suite étant donné la mort de l'écrivain, j'ai hâte de les avoir en mains !

Anonyme a dit...

@Valérie: ne m'en parle pas, après le troisième je vais sûrement devoir réattaquer Harry Potter par le début. Ou alors faire de la pâtisserie sans interruption pendant une semaine.
Tu n'as pas une bonne bibliothèque où les emprunter?